Là où tout a commencé

Le désert maintenant. Décidément, on leur avait tout fait subir. La forêt des bandits, les montagnes avec les soldats, les ruines avec les gobelins et maintenant, ça. Vraiment, c'était pas une sinécure les périples pour retrouver ses origines.

Fueros ressorti la carte. Il ne savait pas pourquoi il faisait ça. Il s'était déjà rendu compte que la carte ne collait pas trop. Mais il n'avait pas voulu le dire, ne pas plombé l'ambiance était une préoccupation majeure avant. Mais là en plein désert, sans avoir mangé depuis deux jours, "l'ambiance" n'était plus sa préoccupation. Parlons en quand même un peu de l'ambiance ! Ils devaient se parler uniquement en nécessité absolue pour économiser la salive. Mais le pire, c'était l'absence d'eau. De l'eau, de l'eau ! Fueros aurait tué pour de l'eau. Pas n'importe qui bien sur mais quand même...

Il jeta la carte de coté. Elle ne servait à rien et Fueros maudissait son créateur. Il avait des pieds à la place des mains celui là ! Fueros fit un rapide calcul. Ils avaient fini leur gourde d'eau deux jours plus tôt.

*Il ne nous reste qu'un jour à vivre, d'autant plus que l'on se fatigue en marchant. à moins d'un miracle, on y arrivera pas.*

Et les miracles, dans le désert, c'est souvent ce qui ressemble à... une oasis ! Fueros vit Viall à terre.

Courage, relève t...

Il ne finit pas sa phrase. Une oasis, là devant lui. Il se jeta lui aussi à quatre patte pour boire. Après avoir étanché sa soif, il prit sa gourde et la rempli à ras bord. Il se leva et regarda sa boussole. Elle au moins, elle avait sa confiance. Le village ne devait plus être bien loin. Ils avaient bien marché et dans la bonne direction. Fueros, soulagé, se jeta à l'ombre d'un arbre. Il fallait dormir maintenant. Et là, aucun problèmes.

Fueros dormi un bon moment. à l'ombre, la chaleur était très supportable. Il y avait même une petite brise qui soufflait et qui caressait les visages. Fueros se réveilla. Viall était endormie à ses cotés. Il se leva.

*J'ai but, je me suis reposé, mais il manque quelque chose.*

Il s'approcha d'un petit buisson. Des baies juteuses et bien mures pendaient sur ce buisson. Il en préleva une dizaine. Elles n'étaient pas très grosses mais avaient un bon gout et coupaient bien la faim. Néanmoins, contre une famine de deux jours, des baies même coupes faim ne pouvait pas grand chose. Il trouva avec bonheur un bananier. Ah, les bananes, ça, ça tenait au corps au moins. Il en prit une bonne quinzaine avec précaution et en mis dix dans ses sacoche. Il en prit deux et en garda trois pour le réveil de Viall.

*Après son roupillon, elle aura surement faim.*

Il regarda encore attentivement l'oasis. Il remarqua un petit cocotier au fond. Il s'y précipita pour prendre les quelques petites noix de coco du jeune cocotier. Il prit son couteau et fit un trou dans une des noix. Il la mit au dessus de sa bouche. Le lait coula à flot. ça faisait plaisir du lait à la place de l'eau de temps en temps. C'était plus nourrissant que l'eau.
Il mit le reste dans sa sacoche. Si Viall en voulait, elle n'aurait qu'à demander. Il avait pas mal chaumé pendant que l'autre dormait. Il n'y avait plus qu'à attendre qu'elle se réveille.

[ Félicitation pour ta nomination !! Enfin quelqu'un pour m'aider lol ]

Viall ouvrit un oeil. Decida qu'elle n'avait pas assez dormi. Le referma. Elle tata à côté d'elle. Rien. Baillement.

OUUUUAAAAaaah... Cha fait du bien. Hey Fueros.

Vivi se leva et fit craquer ses articulations. Puis elle fit ses quelques exercices de souplesse habituels. Après quoi elle prit les bananes des mains de Fueros. Elle commença à en manger une, et mit les autres de côté. Tout en machant son peti-dèj, elle grimpa à un arbre pour essayer de se repérer.

Ca faisait très slogan : Un désert, une oasis, une fille perchée en haut d'un arbre..."BANANA, la banane qui vous donne la pèche !"

HUUUM bref. Malgré le paysage plat, elle ne pu rien voir. Aussi elle redescendit avant de se casser la figure.

Et maintenant ?

[ Pas d'imagination sorry ]

[merci, tu te débrouillais très bien toute seul, mais maintenant, ce sera surement plus efficace ^^]

Fueros attendit un instant avant de répondre. La figure haute, le front relevé, les yeux regardant au loin, un air déterminé. Enfin ça mais fait par quelqu'un qui il y a quelques heures était au bord de la mort, et qui même maintenant ne connaissait pas la moitié des nombreux dangers du désert.
Il regarda de nouveau sa boussole.

Maintenant, on va par là !

Il désigna de sa main, le bras tendu, la direction indiquée par sa boussole. Bon évidement, dans le désert toutes les directions semblaient les même, partout ce n'était qu'une étendue de sable à perte de vue. Aucun repères possible, il faudrait avancer le plus droit possible.
Alors sans en dire plus, il commença la longue marche depuis l'oasis à travers le désert, vers leur village à pied. En espérant qu'aucune tempête de sable ne vienne troublé leur marche.

Viall haussa un sourcil. Enfin, essaya, ce qui lui donna un air assez comique. Mais elle ne dit rien et le suivit.

Et ils marchèrent. Encore. Et encore. Bon, au moins, ils n'avaient ni faim ni soif et étaient reposés, mais ils avaient encore du chemin à parcourir. Enfin, pas autant que ça, puisqu'en 5h de marche, ils arrivèrent en vue de Lalivero. Du moins, ils pouvaient voir une ombre imposante.

*Si c'est un mirage, je...je...je sais pas ce que je fais mais je pète un cable !*

Vivi remonta son bandana qui avait tendance à venir sur ses yeux. Il restait encore une sacré distance entre le duo et la ville. Si c'était bien une ville. La jeune fille plissa les yeux. Et là deuxième ombre, là, quéquéqueça ? Wow, ce truc ce déplacait vite...

Effectivement. En quelques minutes, l'ombre devint silhouette, et silhouette un monstre. Viall soupira. Et voîlà, encore de la castagne. Euh, et cet ennemi avait l'air assez puissant. Vivi essaya de se rappeller le nom de ce monstre. Ca commençait par un H...Oups. Elle évita la première attaque en catastrophe, et finit sur les fesses un peu plus loin.

HEZROU !! Fueros, fais gaffe, c'est puissant ces machins là !

[ Et vive le bestaire... Merci Mag-chou !]

Fueros se dit que cette fois c'était la bonne. Il avait une bonne vue et l'ombre ressemblait belle et bien à leur village. Il avait également vu la deuxième mais là, sa bonne vue ni pouvait rien, il ne reconnaissait pas ce que c'était. Le nom crié par Viall ne lui indiquait rien qu'il comprenne, cela confirmait juste le sentiment d'hostilité qu'il ressentait envers la bête et lui.
Il eu juste le temps de dégainer son épée et de se mettre en garde avant que la masse brute ne fonçasses sur lui, non sans avoir envoyé Viall à terre avant. La chose percuta son épée de plein fouet. Fueros réussi à parer ce coup mais il sentit une onde de choc parcourant son corps et se retrouva également à terre.

*Puissant, en effet. Mais celui n'a pas l'air d'une rapidité extrême.*

Effectivement, ce dernier s'était presque arrêté. Soit il était lent, soit il était bête ou alors très sur de lui. Dans tout les cas, Fueros ne laissa pas échapper cette occasion et lui sauta dessus avec une grande rapidité et une impressionnante souplesse.

*Comme je ne connait pas bien ce type de monstre, il faut tout d'abords que je décèle son point faible.*

Une fois sur le monstre, il donna une rafale de léger coups un peu partout sur le corps du monstre. Le monstre ne broncha pas, sauf lorsque Fueros lui asséna un coup sur le flanc droit. La bête poussa un petit gémissement.

*Ah, une ouverture. Surement une ancienne blessure encore douloureuse.*

Fueros décida de s'acharner sur ce flanc là. Cela laisserait à Viall l'occasion de donner un coup mortel au monstre, si tenté qu'elle trouve cette occasion. Il s'élança alors vers le monstre, l'épée à la main et son courage comme seul bouclier. En espérant que la providence serait de leur coté.

Pendant que Viall s'amusait avec le monstre, Fueros avait calculé la distance probable entre eux et leur village. Ils étaient à moins de deux kilomètres de celui ci.

ça y est tu as fini de t'amuser ?

Pendant que le monstre avait envoyé Viall faire des roulades à terre, Fueros l'avait touché deux fois sur le coté. Et à chaque fois le monstre perdait de la vitesse. De plus, il mobilisait une main pour se protéger se coté là.

Alors on peut y aller.

Il marcha alors pendant une bonne demi heure avant d'arriver tout près du village. Enfin, du village. Ce qu'il en restait. La porte principale était toute défoncée et la muraille de bois qui entourait autrefois le village avait diminué de moitié, le reste était partiellement enseveli par le sable. Il y avait une odeur de bois cramé et de corps en décomposition avancé qui empestait l'air environnant.

bah voilà, on y est.

C'était tout ce que Fueros put dire. C'était vraiment désolant de voir le village dans cet état. Il n'y avait apparemment pas âme qui vive excepté surement des charognards et autres bêtes sauvages. Fueros entra tout de même dans le village, qui sait, peut être quelqu'un serait encore là on ne sait pourquoi.

[moi aussi je suis à court d'imagination]

Bonne question. Si je disais par les ruines, cela ne nous avancerais guère. Allons plutôt au centre du village, de là on pourra explorer tout les recoins du village.

Enfin, si ils avaient le courage. Cela ne dérangeait pas trop Fueros qui avait vu désolations pareils durant la guerre. En de nombreuses situations il s'était trouvé dans des villages incendié ou la seul préoccupation des villageois était de fuir pour garder la vie et celle des soldat de piller un maximum de choses, tout en tuant en maximum de personne. Qu'importe la façon dont ceci était fait, du moment que les quotas étaient remplis.
Dans ces moments là, la panique était grande. Ceci devait être le cas lors de la destruction du village. Les portes ouvertes, enfin ce qu'il en restait, laissaient penser que les gens avaient tenté de fuir. Ils continuèrent jusqu'à ce qui ressemblait au centre du village. Autant qu'il s'en souvienne, il y avait là avant un marché le dimanche. Presque tout le village y allait le dimanche et les jour de fête, la place était aménagée de sorte que tout le village puisse venir à des banquets ou pour danser. Ces tout ce dont Fueros se souvenait.
Il y avait là de ci de là des corps à terre, en costume de fête, les habits du dimanche souillé de sang, séché depuis longtemps, et couvert d'organes en décomposition. Les mouches étaient toujours là. Un festin pour elles. Bien qu'habituer à ce spectacle, Fueros ne tenait pas à rester ici trop longtemps. Peut être qu'il avait parlé ou même joué avec certaine de ces personnes.

Alors, on fait quoi maintenant ? On regarde si il y a pas des survivant ou un endroit pas trop amoché où passé la nuit ?

D'accord. Mais comment on peut le savoir ? Partout c'est pareil, tout est détruit.

Fueros avait pris un ton un peut sec. Mais il n'y pouvait rien, cela ne lui plaisait pas trop d'être en parti responsable de ça.
Il observa les mur de plus près. Il y avait comme une matière dessus. Elle était partiellement effacée mais on pouvait distinguer la couleur d'origine. Jaune. Comme la matière qui constitue le démon. Fueros l'aurait parié.

*Enfin, voilà qui prouve qui a fait ça.*

Il se tourna vers Viall pour lui faire part de sa découverte.

Maintenant, je suis sur de savoir qui a fait le coup.

Il regarda autour de lui. Tout était détruit et carbonisé. ça devenait une habitude mais là l'odeur était particulièrement forte. Fueros était décidément de plus en plus pressé de sortir d'ici.

Fueros vit Viall monter et redescendre le voir puis tomber et plus rien. Du moins pendant quelques secondes. Une sorte de zombie l'avait attrapé par derrière. Il lui avait mis une main sur la bouche et une autre sur les yeux. Par chance, Fueros avait encore un couteau dans son manteau. Il le prit d'une de ses mains et l'enfonça l e plus profondément possible dans le ventre de son assaillant. Une fois que ce dernier lâche prise, il se retourna et lui trancha net la gorge. Il cracha par terre. C'était vraiment écœurant. Ces être avaient la peau en lambeaux. Bon maintenant, il sagissait de retrouver Viall. Il regarda dans la bonne direction et vit Viall sur le dos d'un zombi. Vraisemblablement assommée, elle ne pouvait rien faire.

*ça va bien m'arranger les choses.*

Il courra vers Viall et le monstre. C'est qu'il allait vite le bougre ! De plus, alors que Fueros passait devant une ancienne boutique, un autre zombie sorti de le devanture de la boutique pour lui sauter dessus. Heureusement, il s'entrava et tomba à terre. Fueros eut le temps de ressortir le poignard et le lui lancer en pleine tête. Il atterrit dans un de ses yeux et Fueros l'acheva avec son épée. Mais cela le retarda. Il avait perdu Viall de vue. Il se remis quand même en chemin, épiant tout les coins de rues qu'il croisait.

[Désoler pour le retard mais j'ai pas put aller sur l'ordi plus de cinq minutes ce week-end.]

Fueros déambulait dans les rues à la recherche de Viall lorsqu'il entendit un grand fracas.

*C'est assurément Viall qui fait des sienne.*

Il courra pour voir ce qui se passait. Il contourna une vieille mansarde calcinée. Viall était là, sur un tas de zombis à terre. Fueros dégaina son épée. Peut être en restait-il. Effectivement, une ombre se détachait dans un coin. Fueros déboula à tout bout de champs et sauta sur le zombi. Il lui trancha net la gorge mais dans sa chute, le zombi lui attrapa la tête et le fit basculé. Il tomba la tête la première dans un liquide dont il inhala une quantité. Il se releva brusquement. Il regarda autour de lui. Tout était embrumé. Il voyait où il se déplaçait mais ne discernait pas les personnes autour de lui. De même, les sons qu'il entendait n'étaient pas clairs et il ne les percevaient pas tous.
Il s'avança prudemment lorsqu'il aperçu une silhouette armée. Il crut que c'était un zombi et s'élança dessus, l'épée à la main. Il donna un coup d'estoc qui passa à coté car sa vue était détériorée à cause du liquide. Il se retourna pour attaquer de nouveau. Il ne vit toujours pas qu'il s'en prenait à Viall.

Viall s'était relevée difficilement, aperçevant Fueros attaquer un des zombi.

*Bon, pour lui, pas de problème*

Elle lui tourna le dos, sûre qu'il s'en sortirait, et commença à assomer les zombi, un air dégoûté sur la figure. Lorsqu'elle entendit le bruit d'une épée passer près d'elle. Trop près. D'un saut, elle s'éloigna, finissant en dérapage semi-contrôlé. Fueros avait une tête à faire peur, les yeux vides. Et, apparement, c'était SON épée qui l'avait manquée.

Euuuuh Fufu ? C'est moi ! Alloooooo le lapin ?

Pas le temps de continuer, le voîlà qui se préparait à l'attaquer de nouveau ! Viall dégaina lentement ses dagues, flechissant ses jambes. Pas le choix, il allait falloir remettre les idées en place à cet escargot mou du bulbe.

Elle pu esquiver la première attaque, et répliqua par un coups horizontal visant le ventre, tout en tentant de lui faucher les jambes. Elle n'essayait pas de le tuer, bien sûr, mais de l'assomer un bon coups.

Les zombis restaient en retrait, comme pour admirer le spectacle.

Fueros se retourna brusquement vers Viall. Elle se jeta sur lui en le visant au ventre et aux jambes. Il esquiva le coup porté au ventre mais la seconde dague de Viall lui fit une entaille sur la jambe gauche. Une vilaine entaille qui lui aspergea le visage alors qu'il tombait à terre. Il se releva brusquement l'épée en main. Le sang perlait sur sa figure. Les autres zombis le regardaient, hilares. Et il y avait cet autre zombi qui lui avait blessé la jambe, celui là, il lui ferai la peau. Il essuya le sang sur sa figure d'un revers de la main. La drogue le faisait bouillir de rage.

*Une attaque aux jambes, pour les lui trancher.*

Il prit on épée à deux mains et regarda ce qu'il croyait être un zombi avec un regard empli de haine. De haine et de contentement. Il semblait heureux de se battre. Un sourire se dessina sur son visage. La potion le rendait fou. Il s'élança brusquement sur le Viall. Il sauta en l'air pour faire semblant de commettre une attaque aérienne et au dernier moment ralenti sa course pour plonger à terre. Il glissa jusqu'aux pieds de Viall pour les lui trancher. Il tenait son épée à deux mains et il lui restait un poignard dans son manteau, pour une éventuelle attaque à distance.
A coté, les zombis s'intéressaient de plus en plus au combat.

Fueros s'étala à terre de tout son long. Des douleurs le prenaient à la tête, comme des piques qui s'enfonçaient dans son crâne. Il se releva prudemment.
Autour de lui, les zombis le regardaient toujours, s'amusant à les regarder se battre. Sa jambe était dans un sérieux état et commençait à l'inquiéter. Bon, point positif, sa vue commençait à devenir meilleur et il percevait de plus en plus de sons.

*Tout va pour le mieux. Enfin il y a pire.*

Il ne fallait pas s'inquiéter. Du moins, dans l'immédiat il avait mieux à faire. Il affronter un "zombi" qui savait particulièrement bien se battre.
Il prit son épée à deux main et s'élança.

*Il est temps de tester une nouvelle technique*

A quelques mètres de Viall, il sauta en l'air et sur le coté droit, décrivant un courbe droite et oblique (pour faire plaisir à la prof de physique). Il abaissa alors on épée dans le sens inverse de façon à "balayer" le coté droit de Viall. Le problème était quand retombant, si il atterrissait sur sa jambe blessée, il ne pourrait surement plus combattre pour le moment, et serait une cible de choix pour l'ennemi.

Fueros avait réussi son attaque. Enfin à première vu, il avait su dégâts. Mais ce n'était pas un expert en acrobatie et en gymnastique. Aussi il retomba sur la mauvaise jambe, celle blessée. Une grande douleur l'envahis. Il s'écroula à terre. Il essaya tout de même de se relever mais il chancela et dut s'appuyer contre son épée pour tenir debout et soufflé un peut.

*Un petit moment de repos et je serais de nouveaux d'aplombs.*

Il fallait être optimiste.
Il commençait à souffler un peu lorsque tel un ouragans meurtrier Viall lui décocha une baffe qui le jeta à terre. Il se releva toujours en s'appuyant sur son épée. Il avait une grosse marque rouge sur le visage. Il bouillait de rage intérieurement. Il voulait donner le coup final, achever l'ennemi.

*La rage ne mène à rien de bon. Il faut que je me calme.*

Il saisit son épée. Son pas était chancelant.

Je sais pas qui tu es vraiment comme zombi, mais je t'exterminerai, même si je devais en mourir.

Il avait prononcé ces paroles d'un ton calme et assurer. Bon maintenant, il fallait agir. Il s'élança d'un pas mal assurer, lui. Il manqua de tomber mais réussi à donner un coup d'épée qui décrivit un cercle. Il comptait changer de tactique et faire se retrancher l'ennemi dans un coin pour en suite porter le coup final. Tactique qu'il avait déjà effectué contre de glorieux combattants et qui ne l'avait jamais déçue.