mauvaise rencontre

Fueros quitta le port très tôt. Il laissa derrière lui les pêcheurs, le marché et surtout les gardes qui avait sans doute maintenant étaient prévenus de l'agression de l'aubergiste. Il parti donc sans regrets sur le chemin peu encombrer si tôt le matin. Il décida de passer par la forêt de Felwood. Il se détourna du chemin jusqu'alors emprunté et pris un petit sentier qui se perdait aux abords de la forêt. Ils le quitta dès lors qu'il arriva sous l'ombres des chênes. Il marcha un moment avant d'arriver sous un gros chêne. là il prit le déjeuner que lui avait offert un marchand sur la route. Fueros avait d'abords refusé mais le marchant avait tellement insisté que Fueros avait finalement acceptè.

*Béni soit ce marchant * se dit Fueros intérieurement.

Il repensa à ce marchant quand il entendit un craquement de branche. Il se leva d'instinct et dégaina son épée. S'était sans doute une bête sauvage mais Fueros était devenu plus méfiant depuis qu'il avait rencontrer Viall. Il attendit, ne faisant aucun bruit. Il aperçut alors une ombre dans un arbre. Il prit un caillou et le lança sur l'ombre. Alors l'ombre tomba et Fueros s'aperçut que c'était un homme. Plus précisément, Fueros devinait que c'était un bandit à sa massue et a ses peaux de bêtes. Et Fueros vit qu'il n'était pas seule. En effet une vingtaine d'autres bandits surgirent alors de différents endroits que Fueros n'avait pas vu à cause de sa fatigue. Il recula contre le chêne et se prépara à se battre jusqu'à sa mort. Ce qui arriverait surement si il devait se combattre tout seul ces bandits.

Dans la forêt, une autre ombre était présente. Viall dégustait une pomme, perchée dans un abre. Soudain, une branche craqua, au sol. La jeune fille aperçu une brute, un mercenaire sans doute. En soupirant, Viall lui jeta son trognon à la tête.

Hey, toi, là. Où tu vas comme ça ?

L'homme ne répondit pas, mais jeta un oeil vers un buisson. Viall entendit le bruit d'un épée sortant de son fourreau. Bon, apparemment, c'était l'heure de la castagne. Viall se mit debout, tandis que le mercenaire partait. Malheureusement pour lui, elle n'avait pas l'intention de le laisser faire. En un bond, elle atterrit pieds joints sur sa nuque. Un horrible craquement se fit entendre. Viall contourna le buisson, et découvrit le reste de la bande.

Je dérange, peut-être ?

Fueros était pret à engager le combat avec une passe d'armes compliquée pour impressionner les bandits lorsqu'il entendit une voie. Cette voie moqueuse et un peu ironique il la reconnaissait, c'était celle de Viall.

Non pour une fois je suis heureux de te voir ! plaisanta Fueros. Vois tu ces messieurs ont décidés de me déranger pendant mon repas. Veux tu leur montrer ce qu'est un vrai combattant avec moi ? l'invita Fueros.

Il attendit sa réaction. pendant ce temps, les brigands hésitaient. L'un d'eux fit même quelques pas en arrières, aussitôt rappelés à l'ordre par ce qui semblait être leur chef. C'est vrai qu'il y avait de quoi s'étonner pour eux qui avait l'habitude de terroriser les gens. Fueros décida, même si le moment était mal choisi, de plaisanter sur les bandits. Cela les rendrai plus énervés et le combat n'en serait que plus intéressant.

Je sais qu'ils ont l'air un peu sales et qu'ils n'ont pas dût prendre un bain depuis bien longtemps mais en évitant le combat trop rapproché, ça devrait aller. dit Fueros à l'adresse de Viall.

C'en était trop pour le chef des bandits qui lança une hachette sur Fueros. Celui ci évita avec facilité puis passa à l'attaque en priant pour que Viall le suive.

Viall éclata de rire. Décidement, il avait du culot ! Tout à coup, l'un des gars passa à l'attaque. Viall riait toujours, mais différement. Un sourire apparut sur ses lèvres. Rapidement, juste avant que la brute lui assène un coup, elle se laissa tomber à terre pour lui faucher les jambes. Puis, elle sortit ses dagues en se tournant vers les autres.

A qui le tour ?

Fueros se battait avec pas mal de monde, et le reste faisait face à Viall. Comme personne ne réagissait à sa boutade, elle avança tranquillement vers les bandits. L'un d'eux fit un pas, timidement. Viall passa à sa droite sans qu'il réagisse. Elle l'assoma tranquillement avec la poignée de Hana. Les autres réagirent enfin : ce fut la mélée. Tout en se battant avec le sourire, Viall vérifiait que Fueros ne mourrait pas. Seul contre la bande, elle n'avait aucune chance, même s'ils étaient faibles. L'union fait la force...

Maintenant c'était la mêlée. Viall l'avait suivi et Fueros la remercia intérieurement de ne pas avoir pris la fuite. Il y avait un peu près autant de bandits sur Fueros que sur Viall. Bizarrement, leur chef restait en retrait mais cela n'avait pas l'air de choquer les bandits, eux même trop occuper à se battre. Fueros sauta alors contre un bandit qui était juste devant lui et fit tomber celui ci sur un autre bandit plus petit, les assommant tous deux. Ainsi il était derrière ses adversaires qui, surpris, mirent un moment à comprendre ce qui leur arrivait. Fueros en profita pour en éventrer deux et pour désarmer un troisième.

Alors pas mal comme échauffement, non ? On passe aux choses sérieuses maintenant? dit Fueros à Viall.

Les bandits devenaient de plus ne plus enragés, surtout que Fueros avait un peu raison : à eux deux ils arrivaient à les repousser. Mais leur chef restait toujours derrière, serein tout en regardant ses hommes se faire massacrer. C'est cela qui inquiétait un peu Fueros. D'habitude les chefs de bandits pour se faire respecter devaient se battre avec leurs hommes. Peut être que ce n'était pas qu'une attaque de routine qui sait? Ce moment d'inattention valu à Fueros un poignard dans le bras. Celui ci vit l'auteur de ce geste en train de se bidonner derrière ses amis bandits. Fueros se baissa, passa sous les jambes des bandits tout en arrachant le poignard de son bras. Il planta le poignard dans la gorge du rigolard, son sourire se figea et il tomba raide mort. Pendant ce temps les autres qui n'avait toujours rien vu se regardait bêtement ce qui permit à Fueros d'en tuer deux de plus. Viall aussi se débrouillait pas mal. Elle en avait mis autant que lui au tapis et n'était pas blésée. Restait que le chef était toujours là à les regarder sans aucune émotions envers la mort de ses "glorieux" soldats.

Le gars en retraite commençait à sérieusement lui taper sur les nerfs. Viall décida de s'en occuper. Mais d'abord, il fallait envoyer les autres dire bonjour au sol. Elle en assoma deux avec ses dagues, puis fouetta l'air de son pied pour en envoyer deux autres la tête contre un arbre. Elle para une attaque et cassa la machoire de so n attaquant avec son talon. 2 secondes de pause. Le jeune fille donna un coups de genoux au plus près, dans un enroit plutôt...délicat.

*Celui-là, il est pas près de recommencer à me chercher*

Soudain, la voie fût libre. Viall s'avança donc vers le chef...qui disparut.

Hum, ça, c'était pas prévu.

Fueros en finissait avec son dernière assaillant quand il vit Viall se diriger vers le chef. Il asséna un coup sur la nuque du bandit qui s'écroula de tout son poids. Il se dirigea alors vers le chef des bandit mais celui ci avait disparu. Il s'arrêta et inspecta les lieux du regard. Aucune traces visibles de l'homme qu'ils cherchaient. Viall était aussi étonner que lui et ils restèrent sur leur garde un moment. Soudain Fueros entendit un craquement mais ce n'était qu'un oiseaux. Fueros relâcha sa garde mais à ce moment des guerriers armés jusqu'aux dents. Parmi eux il y avait le chef des bandits. Ainsi il les avait trahi. Il dit alors aux autres soldats de les tuer.

Sauve toi ! dit Fueros à Viall. Je ne pourrai pas les retenir longtemps !

Une main sur la hanche, Viall dévisagea Fufu Fueros.

Tu te prend pour qui, SuperFueros ? Tu viens avec moi, le blessé !

Elle profita du fait qu'il regardait les soldats pour l'assomer. Pas très fière. Elle eut juste le temps de le mettre sur son dos et de s'écarter pour éviter le premier. D'une main, elle lança une boule noire volée on-ne-sait-où, qui explosa en libérant de la fumée noire. La jeune fille déguerpit en pestant contre les imbéciles-qui-veulent-jouer-les-héros-et-qui-sont-super-lourds.
Plus loin, elle déposa son fardeau près d'une rivière. Puisqu'il était toujours dans les vappes, Viallput se reposer et et se débarbouiller un peu, vu qu'elle était couverte de poussière. Après cette petite toilette, elle commença à déchirer la manche de Fueros pour nettoyer sa plaie.

Fueros lui dit de fuir puis il se retourna pour faire face au soldats. Il ne vit pas Viall l'assommer, le prendre sur son dos et jeter une boule noire sur les soldats. Il se reveilla juste quand elle commençait à lui panser sa plaie. Il se releva alors brusquement en la faisant sursauter. Il saisit son épée par réflexe et tua le serpent qui était juste au dessus de Viall et qui s'apprêtait à la mordre. Il avait retrouvé sa rapidité d'antan et aussi sa précision. La tête du serpent avait était tranchée net. Il rangea alors son épée dans son fourreau et dit à Viall qui était encore médusée :

Merci mais je soignerai ma plaie moi même.

Il prit un onguent et se l'appliqua. Ensuite il dit à Viall qu'il feraient peut être mieux de partir car il savait que ces soldats était entrainé pour la traque. Il attendit que Viall lui dise ce qu'elle en pensait.

Viall se leva et giffla Fueros.

Non mais pour qui tu te prends toi ?

A présent, elle était dans une colère noire. Avec le vent, ses cheveux volait autour d'elle lui donnant un drôle d'aspect. Ses yeux était plissés par la rage.
A chaque fois que je te vois, soit tu m'aides, soit t'es dans le pétrin ! Pour UNE fois que je t'aide, tu refuse et tu joues les héros ?! Y'en a marre Fueros, t'étais pas comme ça avant !

Viall s'arrêta net.

*Je viens de dire quoi ? Ca m'a échappé...*

Décidément cette fille était un mystère. Fueros lui sauve la vie et elle le gifle. Bon Fueros n'avait rien senti mais il était quand même gêné de l'avoir énervé à ce point. Finalement, il parti sans rien dire mais en laissant ses affaires ici. Il allait essayer de trouver quelque chose à manger sans se faire repérer. Il ne trouva que des baies qu'il mangea sur place. Il revint peu après au bord de la rivière; Viall était toujours là.

Je ne t'ai rien apporter à manger pour ne pas passer pour un super héros. lui dit Fueros.

Il était lui même à cran et de mauvaise humeur. Il passa devant elle, prit ses affaires et lui dit :

Ils sont tous près d'ici. Vient avec moi et je te traiterai comme tu veut, avec mépris ou considération. Sinon reste là et on se reverra quand on se reverra. Si on se revoit car seule contre eux je ne te donne même pas 1 minute.

Fueros avait dit ces mots spontanément et il se surprenait lui même de la méchanceté de ses paroles.

Viall était restée là, sans se comprendre elle même. Quand Fueros revint, elle dut serrer les poings pour ne pas s'énerver. Elle les serra en oubliant qu'elle avait des ongles. Du sang coula le long de ses poings. Elle tourna les talons sans un mot et se dirigea vers ses affaires. Là, elle prit un poignard. Elle se retourna et fit face à Fueros.

Très bien. T'as décidé d'être une ordure, c'est ton choix.

Elle lanca le poignard au pieds du jeune homme.

Mais j'ai toujours une dette envers toi. De plus, je te lance un défi. Si je survis à ces guerriers, tu m'aide à me souvenir.

Avec un soupir, Viall se cacha les yeux car ils commençaient à être pleins de larmes, sans qu'elle sache pourquoi. Elle réussit tout de même à parler sans que sa voix tremble.

Tu m'aides à me souvenir, à me rappeler ce que j'ai oublier. Pourquoi mes cheveux ne sont plus bruns. Pourquoi mon village était en cendre. Et pourquoi je connais ton nom.

Viall rit, un rire un peu triste tout de même. Un coup de manche suffit à effacer ses larmes. Avant de se préparer au combat, elle passa ses main dans la rivière avec une grimace. On pouvait voir la trace de ses ongles, dans les paumes. Après ça, Viall se tourna vers Fueros.

OK Fufu, plus moyen de reculer.

Elle lui tendit la main pour sceller leur accord, tout en le regardant dans les yeux. Elle n'avait pas peur, mais quelque chose, en elle, s'était brisé. Quelque chose que seul le temps pouvait arranger. Viall dit implement :

Bonne chance.

Viall accepta son aide. Ils scellèrent leur accord puis prirent leurs armes plus déterminés que jamais. Ils décidèrent de tendre une embuscade aux soldats. Ils marchèrent rapidement durant une demi heure avant d'atteindre le petit groupe de soldats. Pendant le chemin leur complicité avait augmentée et ils était presque excités de combattre les soldats. Viall attaqua l'arrière de la troupe de soldat et Fueros l'avant. Viall transperçait les corps des soldats avec ses dagues et Fueros tranchait des têtes à tout va. Une vraie boucherie. Mais Fueros n'en avait que faire puisque cette fois il avait une juste cause à défendre : faire retrouver la mémoire à quelqu'un et accessoirement l'aider à sortir de la forêt vivante. Avec leur volonté et l'effet de surprise, ils eurent vite fait de tuer la plupart des soldats. Bien que l'épaule de Fueros le faisait souffrir, il continuait de donner des coups violent tout en parant les coups de ces adversaires avec un petit poignard ramassé sur le cadavre du soldat qu'il avait tué en premier. Au bout de 5 minute de lutte acharnée, certains soldats trouvèrent sans doute qu'ils n'avaient pas était assez payés pour faire cette besognes et s'enfuirent à travers bois. Fueros et Viall se retrouvèrent seuls devant le chef des bandit qui était armé d'une ridicule massue et d'un tout aussi ridicule bouclier de bois.

A toi l'honneur ! Dit Fueros à Viall.

Un cri retenti dans la forêt puis plus rien. Le chef qui avait trahi les bandits n'était plus.

Viall avait attaqué rapidement, et silencieusement. La plupart de ceux qu'elle avait tués ne l'avait même pas remarquée. Le sang giclait de partout. Hana et Yume dansait, tuant tout. Tout à coups, le chef fût seul. Viall lança un coups d'oeil à Fueros, puis lança Yume dans la gorge du bandit. C'était terminé.

Viall regarda autour d'elle : cette fois, elle avait été obligée de tuer, et la rvière était rouge. Elle essuya sa lèvre qui saignait. La seule blessure qui la génait barrait son ventre, mais elle ne saignait plus. Viall récupera sa dague, puis s'assit pour reprendre sa respiration.

[ Evite de dire les actions des autres, comme tu l'as fait dans le message précédent. Moi j'ai pu me débrouiller avec, mais il vaut mieux que tu laisse jouer les autres^^ ]

[ok désolé]

Voilà c'en était fini de la bataille. Le chef des bandit fut le dernier à mourir, une dague plantée sur la gorge. Viall était blésée au ventre aparement. Fueros lui n'avait fait qu'élargir la plaie de son bras. à cause de ses mouvements brusques et amples. Il se dit que cela cicatriserai vite. Bien que bref, le combat avait était éprouvant. Après avoir essuyer son épée ensanglantée sur les vêtements d'un des soldats, il dit à Viall :

On ferait peut être mieux de se reposer avant de reprendre la route.

il n'était pas spécialement fatigué mais il ne voulait pas que sa plaie s'infecte à cause de l'effort.

Viall hocha la tête, puis sourit.

Tu vas finir par vraiment avoir mal au bras si tu continue.

Elle fouilla dans ses affaires, et trouva un draps blanc, qu'elle déchira en bandes. Puis elle lui tendit son oeuvre avec un sourire d'excuse.
J'ai pas grand chose pour te soigner, mais si tu couvre pas ça...

Viall fit la grimace.

[c'est mon dernier message pour cinq jours car je part demain à Londres.]

Bon cette fois elle jouait la gentille fille. Viall était définitivement tout sauf blasée. Elle avait raison, il devait couvrir cette plaie béante qui rendait son bras presque inhumain. Il sorti un bout de tissu de sa sacoche qui contenait toute sortes de choses certaine inutiles mais d'autres qui dans certains moments trouver leur utilité. Il se pansa lui même sa plaie et s'assit contre un tronc d'arbre. Il sorti quelque chose de sa poche et le tendis à Viall. C'était quelque succulente baie qui était restée dans sa poche.

Tient, tu n'a pas dût manger depuis un certain temps, ce n'est pas grand chose mais prend le quand même. Et je ne fait pas la charité, c'est juste que ce serait raisonnable que tu mange un peu. lui dit Fueros.

Dans son état, il faisait presque pitié et il redouta que Viall se moque de lui.

Viall lui envoya un petit sourire. Il était presque gentil quand il voulait. Au moins, sa plaie était propre. Pour son ventre, Viall s'était contentée de mettre de l'eau dessus ; il n'y avait rien de grave. Elle prit la baie.

Merci, je meurs de faim^^ Et même si les pommes sont faciles à voler, on s'en lasse, au bout d'un moment.

Viall se rappela soudain que sa gourde était vide; elle alla donc la remplir. Elle en profita pour se passer de l'eau sur le visag et sur la nuque.

Tu devrais essayer, ça fait du bien. Pour se relaxer après un carnage, y'a pas mieux.

Elle lui sourit, un peu fatiguée.

[ La chaaaaaaaaaaaaaance !!! Bon voyage Fufu l'escargot !! ]

[ ouais c'était super !!! Viall la limace XD ]

Fueros vit Viall aller chercher de l'eau pour remplir sa gourde. Elle en profita pour se rincer le visage et la nuque. Elle lui dit qu'il devrai en faire autant. Fueros se leva péniblement, marcha jusqu'au bord de la rivière. Mais il trébucha sur une branche et tomba dans la rivière. A cause de sa blessure au bras, il ne put pas se retenir avec. Il ressorti tout trempé. La situation tenait du comique.

Tu as raison ça fait du bien. plaisanta Fueros.

Il alla se rassoir contre le tronc d'arbre et mit sa cape sur lui pour se réchauffer. Il avait encore froid mais il n'avait rien d'autre a se mettre. Fueros pesta contre sa blessure au bras à plusieur reprise mais cela ne servait à rien.

Je croit que je vais dormir un peu si cela ne te dérange pas. dit Fueros à Viall.

Il était assez fatigué car il avait perdu l'habitude des combats. Mais Viall lui avait fait retrouver cet univers qu'il avait côtoyer il y a quelques années.

Viall avait mit sa main devant sa bouche pour se retenir d'éclater de rire. Fueros était vraiment drôle, trempé de partout. Et quelle chute ! Après ce combat contre l'onde, il alla s'asseoir, et voulu dormir. Viall alla s'asseoir contre l'arbre d'à côté.

Ca ne me dérange pas, je vais faire de même^^. Je ne pense pas que quequ'un vienne nous déranger.

Apparement, il avait froid. Viall hésita à se rapprocher, mais pensa qu'il ne le prendrait pas bien. Tant pis pour lui. Elle s'étira comme un chat pui s'installa plus confortablement pour attendre le sommeil.

Viall avait aussi l'air d'avoir besoin de sommeil car elle aussi dormi. Fueros s'endormit rapidement mais pas sur ses deux oreilles. Il en avait l'habitude lorsque il était au service du roi, cela lui avait sauvé la vie plus d'une fois de pouvoir entendre son ennemis s'approcher. En attendant même si ici il se sentait plus en sécurité, il prit instinctivement le manche de son épée comme si cela le rassurait. Il se reposa pendant quelques heures puis se leva pour aller boire à la rivière. Il se désaltéra en faisant attention à ne pas tombé cette fois lorsque il aperçu une ombre de l'autre coté de la rivière. Il se cacha derrière un buisson et aperçu nettement l'ombres. C'était en fait un barbare qui n'était surement pas venu seul.

*La fête continue !* se dit Fueros.

Fueros vit que Viall avait comprit elle aussi qu'il fallait mieux se cacher et attendre. Ils ne savaient pas combien ils étaient et puis bien que cette petite sieste lui avait permit de récupérer un peu, Fueros sentait encore une douleur à son bras et la plaie n'avait que superficiellement cicatrisée. La blessure de Viall devait aussi la gêner pour le combat et les attaques de ces barbares, bien que peut précises, étaient brutales et faisait des dégâts. Cela fit que Fueros se demanda si il ne fallait pas mieux décamper d'ici si jamais les autres venaient de ce coter. Même si cela n'était pas noble, il ne fallait pas non plus sous estimer la force de ces adversaires. Fueros en avait fait l'amère expérience un jour et cela avait failli lui couter la vie. L'incertitude de Fueros grandissait lorsque le Barbare disparu de son champs de vision. Un peu paniqué, Fueros saisit son épée et se percha sans difficultés sur la branche où était Viall.

Bon on a deux choix : soi on reste ici au risque qu'il soit nombreux et qu'il nous trouve, soi on bat en retraite et on quitte cette forêt le plus vite possible pour rejoindre la route où on sera sans doute plus en sécurité. Tu en pense quoi ? dit Fueros à Viall.

Il avait dit ces mots rapidement et à voix basse de manière à ne pas attirer l'attention des barbares qui ne devaient pas être loin.